Des visages longs, pas vraiment tristes mais sans gaîté ou, plutôt, voilés d’une indifférence magnétique, voilà ce que je retenais du Modigliani de mon adolescence. Un peintre, invité permanent du musée imaginaire familial, avait la qualité d’être facilement reconnaissable, saisissable… Lire la suite ›