Des visages longs, pas vraiment tristes mais sans gaîté ou, plutôt, voilés d’une indifférence magnétique, voilà ce que je retenais du Modigliani de mon adolescence. Un peintre, invité permanent du musée imaginaire familial, avait la qualité d’être facilement reconnaissable, saisissable… Lire la suite ›
Martigny
Quelle merveille. Peindre comme cela vient.
De la matière, beaucoup de matière. Des couches de peinture, superposées, façonnées. Pavages et déchirures. La touche est vigoureuse. Mes premiers pas dans l’exposition des œuvres de Nicolas de Staël à Martigny me conduisent vers une découverte qui contredit le… Lire la suite ›