L’exposition de Noël des œuvres sélectionnées lors du concours annuel de Magasin, était cette année empreinte d’une sombre et froide austérité. Presque de la tristesse. Peut-être un effet du lieu, une grande nef aux prises avec les rigueurs de l’hiver… Lire la suite ›
Gerhard Richter
Capables de pitié, mais dans quelles limites ?
Le Salon de Magasin, baigné d’une lumière parcimonieuse, était particulièrement froid, triste. Ce jour de très faible affluence accentuait le sentiment de solitude. Sur les murs, des images sans cadre ni épaisseur ; ouvertures sur un univers intime, chaises, lits,… Lire la suite ›
Le silence et le noir, un accord parfait
De là où j’écris, Pierre Soulages, comme Rothko et quelques autres, est perçu comme un créateur pour l’élite. Un créateur pour ceux qui ont assez d’intimité avec l’art contemporain, assez de connaissances et une sensibilité particulièrement affûtée pour réagir à… Lire la suite ›